Le petit-fils de JFK est maintenant adulte - et la ressemblance avec son grand-père est tout simplement troublante

John Kennedy Schlossberg partage son nom avec son défunt grand-père, et ancien président américain, John F. Kennedy. Et ce n'est pas tout ce que Schlossberg a en commun avec JFK. Mais parce que Schlossberg a grandi loin du regard du public, les gens ne commencent que maintenant à remarquer leurs similitudes. À bien des égards, cependant, ce beau jeune homme ressemble étrangement à son grand-père maternel. Alors qui est Schlossberg ? Et comment vit-il vraiment le fait de ressembler autant à un président aussi populaire ?

Schlossberg, qui préfère se faire appeler « Jack », est le fils de Caroline Bouvier Kennedy. Au cas où vous ne le sauriez pas, Caroline est le seul enfant vivant de JFK et de sa femme, Jacqueline Bouvier Kennedy. En effet, plusieurs membres de sa famile sont morts tragiquement, dont les propres enfants du président - c’est ce que l’on a appelé la "malédiction Kennedy", si du moins vous croyez en ce genre de chose... 

Vous savez évidemment que JFK a été assassiné par Lee Harvey Oswald en 1963. C'est, après tout, peut-être l'assassinat le plus médiatisé de l'histoire américaine. Vous savez probablement aussi que le frère de JFK, le sénateur Robert F. Kennedy, a ensuite été assassiné en 1968. Mais avez-vous entendu parler des histoires tragiques des enfants du président ?

Jackie a vécu une fausse couche pour la première fois en 1955 et l'année suivante, leur fille Arabella était mort-née. Mais à la suite de ces événements douloureux, Jackie a donné naissance à Caroline en 1957 et à John Jr. en 1960. Quelques mois seulement avant la mort du président, le couple a eu un fils qui est décédé deux jours après sa naissance. Il s'appelait Patrick.

Après la mort de John F. Kennedy, il n'est donc peut-être pas surprenant que Jackie ait quitté la Maison Blanche et se soit retirée des yeux du public. Elle s'est concentrée sur ses enfants, Caroline et John Jr. Malgré les meilleurs efforts de leur mère, Caroline et John Jr. ont vécu le reste de leur enfance sous les flashs des médias.

Cela a rendu les choses extrêmement difficiles pour les enfants. Caroline, par exemple, avait l'ambition de devenir photojournaliste. Mais, selon le magazine People, elle a abandonné cette idée lorsqu'elle s'est rendu compte qu' « elle ne pourrait jamais gagner sa vie en observant les autres parce qu'ils étaient trop occupés à la regarder ». Pourtant, Caroline est tout de même entrée dans la vie professionnelle.

Caroline est devenue avocate, a épousé le designer Edwin Schlossberg et a eu trois enfants. Il s'agissait de Rose Kennedy Schlossberg, de Tatiana Celia Kennedy Schlossberg et de John « Jack » Bouvier Kennedy Schlossberg – que nous avons déjà rencontré. Mais quelques années seulement après la naissance de Schlossberg en 1993, une tragédie a de nouveau frappé la famille Kennedy.

En 1999, John Kennedy Jr. a perdu la vie dans un accident d'avion. Sa femme et sa belle-sœur, qui volaient avec lui, sont également décédées. Naturellement, la tragédie a dévasté la famille et a suscité un regain d'intérêt des médias pour la « malédiction Kennedy ». L'oncle de John Kennedy Jr., le sénateur Ted Kennedy, lui a rendu hommage lors d'un service commémoratif public en disant : « Comme son père, il avait tous les dons sauf celui d’avoir de longues années devant lui. »

Maintenant, s'il y a quelque chose que montrent ces histoires de « malédiction », c'est que la vie d'un Kennedy n'est pas forcément facile. Non seulement les membres de la famille doivent être à la hauteur de l’héritage familial, mais ils sont également hantés par plusieurs fantômes. Ce sont les circonstances dans lesquelles Jack Schlossberg est né. Jusqu'à présent, il a cependant mené une vie relativement normale, et ce même si les personnes qui le croisent sont souvent ravies de constater un air de famille.

Contrairement à sa mère, Schlossberg a grandi loin des paparazzi. Ce n'est en effet qu'à l'âge adulte que les médias ont vraiment commencé à s'intéresser à lui. Et ils ont pu se rendre compte à quel point il ressemblait à son oncle, John Kennedy Jr. Par exemple, Schlossberg possède les mêmes cheveux épais et bruns et les mêmes traits amicaux que son homonyme.

Le magazine People a interviewé un ami anonyme de Schlossberg en 2015. « Jack s'intéresse beaucoup à John », déclarait-il. « Il a une certaine aisance et un sens de l'humour. Et il adore être comparé à lui. John était un type rare de célébrité qui a grandi avec la célébrité et s'est amusé avec ça, sans pour autant lui laisser prendre le dessus sur sa vie. »

« Il ne se promène pas avec une grande pancarte au-dessus de sa tête », poursuivait cette source anonyme. « Il ne passe pas beaucoup de temps à penser à l'héritage de sa famille. C'est quelque chose dont il est fier, mais cela ne le définit pas. » Et Schlossberg semble en effet tracer son propre chemin dans la vie. Son Instagram, par exemple, donne l’idée d’une personne qui aime s'amuser.

Le compte Instagram de Schlossberg regorge en effet de mèmes, de blagues, de photos de grands espaces – et de photos occasionnelles de lui sans chemise. Inutile de dire que les photos torse nu sont extrêmement populaires et que les gens commentent souvent la façon dont il a hérité de la beauté de sa famille. Il y a aussi plusieurs photos de la petite enfance de Schlossberg, offrant aux fans un aperçu de ce que c'était que de grandir en tant que Kennedy.

Mais Schlossberg est, bien sûr, plus que ce que montre son Instagram. Il a fréquenté la prestigieuse université de Yale et a obtenu son diplôme en 2015. Le brillant jeune Kennedy a obtenu son diplôme en histoire, spécialisé dans l'histoire du Japon - d’ailleurs, sa mère était en fait l'ambassadrice des États-Unis au Japon pendant la période de 2013 à 2017. Sans surprise, il parle aussi Japonais.

Pourtant, Schlossberg a aussi d'autres capacités et passe-temps. Par exemple, il écrit pour des publications telles que The Washington Post, Time et le journal de son université, The Yale Herald. Et dans ces articles, il a exposé ses opinions politiques, qui sont similaires à celles de son célèbre grand-père. Il participe également à des triathlons, perpétuant l'amour du sport de la famille Kennedy.

Schlossberg est également ambulancier bénévole – il a reçu sa formation alors qu’il était à Yale. « Jack voit cette formation comme un moyen de contribuer à la communauté de New Haven dans laquelle il vit », a déclaré un de ses amis au New York Post en 2013. « Jack est très conscient de tous les privilèges et opportunités qui viennent avec sa famille, donc sa formation d’ambulancier a beaucoup à voir avec un service communautaire. »

Dans presque tout ce qui est écrit sur la jeune star montante, il y a cependant une question tacite : pourrait-il un jour lui-même se présenter à la présidence ? Fait intéressant, en 2012, à la Convention nationale démocrate, la correspondante politique de CNN, Candy Crowley, a rencontré Schlossberg et lui a demandé s'il envisagerait une carrière en politique. Il a donné une réponse prudente.

« La politique m'intéresse définitivement », lui a-t-il dit. « Ce qui m'intéresse le plus, c'est la fonction publique. C'est quelque chose que j'ai hérité de ma famille, et qui est un véritable honneur. » Et puis sa mère, qui a bien sûr elle-même beaucoup d'expérience en politique, a ajouté. « Jack est super. Je sais que quoi qu'il fasse, il le fera de tout son cœur. Donc, quoi que ce soit, je suis entièrement derrière lui. »

Puis, après que la question lui a été posée à nouveau en 2017, lors de son apparition avec sa mère dans l' émission Today, il a donné une réponse très similaire. « Je suis inspiré par l'héritage politique de ma famille », a-t-il déclaré. « C'est quelque chose dont je suis très fier. Mais j'essaie toujours de faire mon propre chemin et de comprendre les choses. Alors restez à l'écoute – je ne sais pas ce que je vais faire. »

Ensuite, Schlossberg étudiera à la Harvard Law School, l'institution dont son grand-père est sorti diplômé en 1940. Et après cela, tout est possible. Sa mère a déjà fait savoir qu'elle le soutiendrait dans tout ce qu'il entreprendrait. Ainsi, malgré la tristement célèbre « malédiction Kennedy », il y a toujours une chance qu'à l'avenir il y ait un autre membre du clan à la Maison Blanche.

Schlossberg n'est cependant pas la seule personne à avoir hérité de l'apparence d'un ancêtre célèbre. La petite-fille de Grace Kelly a également prouvé que la pomme ne tombe jamais trop loin de l'arbre. Et elle ressemble étrangement à l'icône de la culture pop qui était autrefois la plus belle femme d’Hollywood.

Vivre à la hauteur de la réputation d'une grand-mère aussi connue est déjà assez difficile. Mais quand cette grand-mère se trouve être la rayonnante Grace Kelly, cet exploit devient quasiment mission impossible. En tant qu'actrice et membre de la famille royale monégasque, Kelly éblouissait par sa beauté accrocheuse, son sens unique de la mode et ses superbes qualités d'actrice. De plus, la petite-fille de Grace Kelly, Pauline Ducruet, semble se diriger vers la même voie. Après tout, elle partage non seulement le même amour pour la mode que sa célèbre grand-mère, mais elle ressemble également de façon frappante à l'ancienne princesse de Monaco.

En tant que l'une des figures de proue de l'âge d'or de la télévision tout au long des années 1950, Grace Kelly est devenue l'une des icônes de la culture pop de son temps. Et après avoir gravi les échelons de la télévision, elle a fait sensation sur grand écran, décrochant son premier rôle au cinéma dans Quatorze heures en 1951.

Et ont suivi des rôles acclamés par la critique dans d'autres films, tels que Mogambo, Le train sifflera trois fois et Le crime était presque parfait. Il semblait d'ailleurs que l'étoile montante avait rapidement trouvé un public qui ne se lassait pas de son travail d'actrice. Cependant, sa plus grande réussite professionnelle est peut-être survenue en 1954. C'est à ce moment-là qu'elle a remporté un Oscar de la meilleure actrice pour son interprétation de Georgie dans Une fille de la province.

C'est d'ailleurs son travail d'actrice qui justifie sa venue en France en 1955 pour le Festival de Cannes. Et pendant son séjour, elle a été invitée à participer à une séance de photographie avec le prince de Monaco, le prince Rainer. Elle ne se doutait cependant pas que sa vie changerait radicalement à partir de ce moment.

Immédiatement frappé par sa beauté, Rainer s'est ensuite rendu aux États-Unis pour y rejoindre Kelly. En ce qui a pu paraître comme un mouvement hâtif, il lui a même demandé sa main trois jours après son arrivée. Pour compléter ce conte de fées, Kelly a dit oui, et les deux sont devenus mari et femme en avril 1956, au cours d’une cérémonie qui a été appelée « Le mariage du siècle. »

Bien que devant mettre fin à sa carrière d’actrice en tant que membre de la famille royale de Monaco, Kelly avait maintenant une vie de famille sur laquelle se concentrer après l'arrivée de ses trois enfants: Albert, Stéphanie et Caroline. Et même si elle s’est vue offrir de nombreux rôles tout au long des années qui suivirent, l'engagement de Kelly envers sa nouvelle vie royale allait s’avérer à toute épreuve jusqu'à la fin. De plus, le sens de la mode de la nouvelle princesse consort de Monaco allait l’aider à devenir une icône mondiale de la mode.

Grace Kelly est cependant tragiquement décédée dans un accident de voiture en 1982 après avoir eu un accident vasculaire cérébral mineur au volant. Elle a perdu le contrôle du véhicule, qui a ensuite quitté la route et dévalé une falaise. Elle a ensuite été transportée d'urgence à l'hôpital avec un grave traumatisme crânien et un fémur et un thorax emdommagés. Malheureusement, les médecins n'ont rien pu faire pour sauver la princesse de 52 ans.

Au cours des décennies qui ont suivi le décès de Kelly, son impact culturel s'est donc révélé profond. Cependant, il y a une personne dans son arbre généalogique qui semble prête à perpétuer son héritage : sa petite-fille Pauline Ducruet, fille de la princesse Stéphanie de Monaco. Ducruet n'est pas née du vivant de Kelly, mais cela ne l'empêche pas d'adopter les mêmes valeurs auxquelles sa grand-mère croyait.

Ducruet a 23 ans et est 13ème en lice pour succéder au trône monégasque. Cependant, elle ne se contente pas de récolter les fruits de l’héritage familial. Au contraire, Ducruet – qui ne détient aucun titre royal – cherche à suivre son propre chemin dans la vie et à suivre son cœur.

En effet, elle tient même de sa grand-mère en ce qui concerne son sens unique du style. Et Ducruet a suivi sa passion à la Parsons School of Design de New York, où elle étudie la mode. Il semble donc qu'elle préfère suivre son propre chemin dans la vie plutôt que de simplement se reposer sur ses relations royales.

En février 2017, Ducruet a parlé de cette quête d’indépendance dans un entretien avec Point de Vue : « Mes parents ne m'ont jamais dit : "Tu dois faire ceci ou t'habiller comme cela." » Et d’ajouter : « Ils m'ont toujours laissé faire les choses en accord avec ma personnalité. J'ai toujours été un peu rock 'n' roll. »

Dans la même interview, elle a également révélé que ses valeurs et son indépendance étaient des aspects ancrés en elle lorsqu'elle était enfant. Elle portait cela au crédit de sa mère, la princesse Stéphanie. Elle a également affirmé qu'elle n'avait jamais été obligée de faire quoi que ce soit, mais plutôt encouragée à poursuivre ce en quoi elle croyait.

De plus, bien que les parents de Pauline se soient séparés en 1996, elle les a félicités pour lui avoir donné une éducation aimante et solidaire. « Mon père et ma mère ont tous les deux fait de moi la jeune femme que je suis », déclarait-elle dans son entretien avec Point de Vue. « Ma mère a eu beaucoup d'influence sur ma vision des choses. Nous sommes très similaires. »

Cependant, Ducruet et Grace Kelly ne partagent pas seulement un intérêt similaire. Elles se ressemblent aussi physiquement - Pauline semble être le sosie de sa belle grand-mère. Ce genre de ressemblance saute souvent une génération, et Grace et Pauline ne semblent pas être déroger à la règle.

En fait, même Kelly elle-même serait peut-être surprise de la ressemblance qu'elle a avec sa petite-fille. Et même si elle n'a pas eu la chance de rencontrer sa célèbre ancêtre de son vivant, Ducruet est toujours très consciente de l'impact de sa grand-mère sur le monde.

Assez gentiment d'ailleurs, elle voit sa grand-mère plus comme une personne réelle que comme un personnage public. C'est en grande partie grâce à l'influence de sa mère et de la fille de Kelly, Stéphanie. Ducruet expliquait ainsi à Point de Vue : « Quand [ma mère] évoque la mémoire de [Grace Kelly], ce n'est pas en tant qu'actrice ou icône, mais en tant que maman. »

De plus, il semble que les codes éthiques de Kelly aient été transmis d'une manière parfois rare parmi ceux qui sont sous les projecteurs. En bref, ils encouragent à faire preuve de respect et d'empathie envers les autres autour de soi : tout le contraire de ce que certains considèrent comme la nature de plus en plus insipide de la célébrité aujourd'hui.

Toujours dans son entretien avec Point de Vue, Ducruet parlait de la tendresse de sa mère pour Grace Kelly. Elle racontait en particulier : « Elle [Stéphanie] parle de sa mère comme de la personne qui lui a inculqué des valeurs essentielles, le respect des autres et la tolérance, qu'elle nous a transmis en retour. »

Et Ducruet elle-même semble être un esprit libre, libéré des pressions et de l'intrusion de la presse que les membres de la royauté endurent généralement. Cette liberté peu commune lui a d'ailleurs apparemment permis de poursuivre ses rêves et d'explorer le monde qui l'entoure.

En fait, elle concluait son interview en disant : « Aussi loin que remontent mes souvenirs, je voulais voir le monde, rencontrer les autres, vivre ma vie. J'ai grandi entourée de beaucoup d'amour, mais j'avais parfois l'impression d'être dans une bulle. » Et nous sommes sûrs que sa grand-mère, femme forte et indépendante, aurait été complètement d’accord avec cela.